Il circule sur les réseaux sociaux depuis ce mercredi 17 Juin 2020, l’audio d’un individu en manque d’informations précises pour ternir l’image et la crédibilité de l’Ecole Supérieure de Management (ESM) Bénin, l’une des écoles de référence aujourd’hui au Bénin en terme de formation de qualité. Sorti de nulle part, il saute dans une maison qui fonctionne sur des textes connus de tout apprenant inscrit, et même de leurs parents et tuteurs. De quoi s’agit-il ? Des frais de rattrapage instaurés dans toutes les universités privées, et donc l’objectif capital est décourager la paresse pour motiver les apprenants au travail afin d’éviter d’aller en session de rattrapage.
Si pour cet individu, exiger 5.000f pour la session de rattrapage pour une unité de valeur qui englobe plusieurs matières est comparable à « un commerce, une arnaque, une escroquerie…. », dans un contexte où les étudiants manquent les cours et viennent composer espérant de bonnes notes, le faux défenseur devra revoir sa copie et mieux s’informer des raisons qui sous-tendent l’instauration d’une telle mesure. C’est simplement une rêverie de dire que les étudiants payent 5.000 f par matière. De fausses allégations face auxquelles, il pourrait répondre devant les tribunaux.
L’honnêteté d’un étudiant
Est-il même important de le faire savoir à l’opinion publique lorsqu’on sait que le promoteur de l’école indexée accompagne sérieusement ses apprenants dans leur formation et insertion sans bruit ni tapage ? Malheureusement, il est capital de le faire savoir à ce jeune en mission et qui ne maitrise pas les textes de fonctionnement et le règlement intérieur des Etablissements privés de l’enseignement supérieur. Car, raconter ses balivernes sans importance sur les réseaux sociaux est une provocation à l’ensemble des EPES qui ne cessent de chercher des voies et moyens pour accompagner la réussite académique de leurs apprenants.
« Je suis en deuxième année en finance comptabilité 2 dans cette école. Je suis révolté contre ce que j’ai écouté et laissez- moi donc vous dire qu’aucune chose ne se passe ainsi. Comment peut-on payer les frais de rattrapage à cette hauteur que vous venez de dire ? Si l’étudiant travaille, ne doit-on pas lui attribuer les points qu’il faut ? Au contraire, aucun professeur ne veut l’échec de son étudiant. Je n’ai jamais eu ces notes minables que vous venez de citer mais si l’étudiant n’arrive pas à apprendre ses cours et pense que faire une école supérieure privée est couronné d’une réussie obligatoire, pourquoi nos professeurs vont-ils leur attribuer les points fantaisistes ? » lui réponse un étudiant de ESM Bénin sur la toile.
Comme si cela ne suffisait, il poursuit : « À l’ESM Bénin, c’est la qualité et d’ailleurs, renseignez-vous bien sur le promoteur. Au contraire, il nous donne assez de conseils pour une bonne réussite de la vie. Il vient parfois à notre secours quand parfois le paiement de la scolarité te paraît difficile au moment où il te resterait ta dernière tranche à payer. Le promoteur en tant que professeur d’université ne crie sur personne, je dis bien personne. J’ai six matières pour rattrapage mais je n’ai payé que 5.000fcfa , je dis bien cinq mille francs CFA. L’insertion professionnelle est assurée et poursuivie par le promoteur ; Il veille sur nous les étudiants régulièrement. Donc svp, revoyez un peu vos dires… »
Le débat n’est plus à ce niveau, les voix les mieux averties s’en chargeront au moment opportun et l’intéressé répondra de ses actes selon la Direction générale de l’école .