Les étudiants de la Haute Ecole de Commerce et de Management (HECM) étaient à nouveau en fête. C’était à travers la Journée d’intégration 2020 de l’école qui s’est déroulée à Parakou, le mercredi 19 février 2020. Pour le compte des activités entrant dans le cadre de cette célébration, les étudiants se sont retrouvés à la Place Bio Guerra pour un pique-nique. Des causeries, des danses et le partage d’un repas ont meublé cette journée. Cela a été un moment culturel, touristique et surtout de brassage entre des centaines d’étudiants venus des différents sites de Parakou, Bohicon, Porto-Novo, Abomey-Calavi et Cotonou (Akpakpa, Jéricho, Atrokpocodji). On pouvait lire, sur certains regards la joie de découvrir la cité des Kobourous.

Pour le promoteur de l’école, l’Honorable Natondé AKE, cette initiative annuelle se justifie par ce fait que la vie professionnelle appelle à des rencontres d’échanges entre générations. C’est ce qui explique cette partie qu’il offre à ses apprenants qui doit leur permettre de sympathiser et d’apprendre le savoir-vivre pour mieux forger leur avenir en entreprise et en société.
« La journée d’intégration est une journée qui est choisie chaque année par HECM, pour que ses étudiants des différents campus se retrouvent pour faire leur connaissance, ensuite nouer des relations entre eux, avoir bien sûr, fait des visites d’entreprises quelques jours après…. C’est une opportunité pour les étudiants de faire du tourisme car, précise-t-il, nombreux sont ceux-là parmi eux qui n’ont jamais eu la chance de quitter Cotonou pour Parakou » a précisé le Président Directeur Général de la Haute Ecole.
Des vœux pour une HECM plus combative
La Journée d’Intégration de 2020 a été marquée dans la journée par la traditionnelle cérémonie de présentation de vœux du personnel enseignants et administratif au Promoteur de l’école.

Etant la première fois que le site de Parakou accueille un tel événement, le Directeur des Etudes, Dr Marius AKPO s’est confondu en remerciement pour l’honneur. « Le choix porté sur le campus de Parakou a suscité en des sentiments de joie et de fierté. Notre joie est d’autant plus grande que c’est la toute première fois que Parakou abrite cette cérémonie. C’est pourquoi, au nom du personnel de HECM Parakou et en mon nom propre, je vous dis toute ma gratitude pour le choix du campus de Parakou pour abriter cette cérémonie » a déclaré le Directeur des études dans son mot de bienvenue.
Représentant du personnel administratif, Achille DIMBA a, au nom de ses collègues, pris l’engagement de donner le meilleur d’eux-mêmes afin que HECM soit toujours classée parmi les meilleurs universités du Bénin et de la sous région, de par la qualité de la formation.
Et puisque dans l’univers des établissements privés d’enseignement supérieur du Bénin, HECM se veut rester une école forte, fidèle à sa vocation humaniste de transmission du savoir, l’Honorable Natondé AKE a rassuré ses collaborateur de sa disponibilité à œuvrer à permettre à l’école leader de relever les défis de l’avenir. Il s’agit essentiellement, du défi de la digitalisation sur tous les campus de HECM, celui de l’emploi en permettant à beaucoup de jeunes d’accéder aux études supérieures et mieux les préparer au marché du travail. Et enfin, le défi de la compétitivité en donnant aux apprenants une formation de qualité, sans oublier de favoriser non seulement une instruction de qualité, mais aussi, en y intégrant la formation morale, éthique de même qu’en veillant à la santé physique et psychologique des apprenants. Pour la circonstance, un présent a été offert au promoteur en souvenir.
Une soirée jonchée de musique suave et adoucissante

Après l’étape du pique-nique en journée, la soirée a été marquée par un concert dans l’enceinte du campus. Toute la nuit, les étudiants de HECM présents ont chanté et dansé aux côtés de grands noms de la musique béninoise. Des séquences de réjouissances, des mélodies savoureuses et adoucissantes de l’artiste Pélagie la Vibreuse ont couronné cette Journée de l’Intégration avec d’autres merveilles et Amy Mako. Et le talent monstrueux de Kalamoulaye n’en demandait pas plus pour laisser libre cours à son génie.
Emmanuel GBETO